Des élèves pourraient se retrouver sans transport scolaire à la rentrée des classes. Les négociations en vue du renouvellement des contrats avec les transporteurs n’ont pas encore donné de résultats. Du côté du Centre de services scolaire des Sommets, on indique que six transporteurs sont concernés sur le territoire et que les négociations sont toujours en cours.
La Fédération des transporteurs par autobus a précisé au Devoir que les discussions se poursuivent en vue d’une entente avant le retour en classe prévu dans moins de deux semaines.
Les transporteurs demandent des hausses de tarifs pour le déplacement des élèves notamment en raison de l’explosion des coûts du carburant, de l’entretien des véhicules et de la main-d’œuvre.