L’Association des chefs en sécurité incendie du Québec demande qu’il n’y ait pas de pénalité financière pour les pompiers à temps partiel et volontaires qui doivent assurer une garde ou répondre à un incendie, en vertu des programmes déjà annoncés. Des pompiers, qui ont perdu leur emploi régulier en raison de la COVID-19, craignent de ne pas avoir accès à l’aide annoncée.
Par exemple, pour bénéficier de la Prestation canadienne d’urgence, le travailleur ne doit pas avoir de revenus durant 14 jours consécutifs. L’Association, qui regroupe plus de 1000 membres du milieu de l’incendie répartis dans 650 municipalités, industries et institutions, travaille avec les deux paliers de gouvernement afin de trouver une solution. L’Association précise qu’en ce moment, avec la crise sanitaire qui survient en cette période propice aux inondations, il faut pouvoir compter sur l’ensemble des ressources disponibles.